Au début des années 2000, un psychothérapeute new-yorkais initia des consultations dans Central Park avec certains de ses patients.
Une fois la pertinence évaluée, il décida de déplacer le cadre thérapeutique à l’extérieur de son cabinet, passant du face à face au côte à côte.
Le constat fut interpellant tant la parole semblait spontanée et le mouvement de la pensée dynamique sous l’action de la marche.
L’intérêt principal de cet outil est l’oxygénation du cerveau et du corps qui semblent favoriser la dynamique verbale. L’immersion dans la nature stimule les sens et le registre symbolique.
La marche, activité primaire par excellence, permet au patient d’activer une action directe sur le mouvement qu’il veut imprimer sur son chemin en étant sur le chemin.
Le thérapeute, véritable guide accompagnant, se retrouve dans une posture différente que celle investie dans son cabinet. Patient et thérapeute se retrouvent au sein d’un lieu neutre et partagé : la Nature.
La promiscuité humanise la relation thérapeutique et permet une communication transversale.
La marche fait donc fonction de catalyseur, la nature de cadre neutre et bienveillant.
Les actions physiologiques sont immédiates. Le corps en mouvement et oxygéné produit une dose plus ou moins importante d’endorphines, et active la circulation sanguine.
Certaines études prouvent qu’en marchant minimum 30’ plusieurs fois par semaine, les symptômes dépressifs diminuent et une série de douleurs notamment sur le plan ostéo articulaire impacte moins le corps.
Le bien-être est régulièrement de mise !
Déroulement de la séance :
Si vous optez pour une séance de Walking Thérapie :
Vous vous engagez pour une heure de séance.
Il est conseillé de vous munir de vêtements et chaussures adaptés aux conditions climatiques, nous marcherons en Belgique !!
Prévoyez une bouteille d’eau et des mouchoirs.